Après le décès de sa tante, Jérôme a souffert de deux grands mots. A cette douleur qui ne partira plus jamais, ce vide creusé en lui du fait du départ de Mme Fourgères s’est ajouté le souci de la gestion de ses effets personnels. Souvenirs et amertumes. Pourtant, la tâche était obligatoire. Autrement, Jérôme aurait abandonné le débarras de la maison. Plusieurs solutions étaient envisageables pour vider facilement la maison des biens de la tante.
La Parisienne partie, que faire de ses affaires ?
De son vivant, Jérôme et Mme Fourgères étaient si proches. D’ailleurs, il était son seul confident au nombre de tous les enfants de la famille. N’eût été cette courte maladie, elle aurait peut-être eu le temps de laisser un testament pour la répartition de ses biens. Mais comment aurait-elle pu imaginer que de simples maux de ventre auront raison d’elle à 42 ans ?
Que la nature est bien cruelle et la mort, si insensible. La semaine suivant celle de son inhumation, une réunion de de famille se tint pour décider du sort de ses affaires. Les langues se délièrent. Jérôme proposa que les affaires soient partagées aux associations caritatives, plutôt qu’une entreprise de débarras 75 , une société comme débarras Paris ! Ce n’est pas une mauvaise idée de vider presto.
Mais tous les membres de la famille ne partagèrent point cette idée. D’autres proposèrent la vente des biens aux enchères. « La cession de ces biens nous permettra de récolter un peu d’argent pour faire face aux dépenses occasionnées par son enterrement », a proposé Emilie, la sœur de Mme Fourgère. La houleuse discussion qui s’en suivit donnait à la réunion toute sa signification.
Faire un choix accepté de tous
Mme Fourgères, de son vivant était de nature généreuse. C’est, d’ailleurs pourquoi selon Jérôme, la meilleure option était une donation et non une comme débarras maison Paris. Jérôme ne pouvait pas trouver mieux. « Ce n’est pas moi qui parle ; c’est ma tante qui parle à travers moi ; demandez-vous ce qu’elle aurait fait, elle-même de ses biens s’il lui était donné l’opportunité de décider », se défendit le pauvre Jérôme. Personne ne voulait l’entendre. Selon Laurent, l’oncle de Jérôme, faire appel à un commissaire-priseur pour la vente aux enchères des biens et objets de valeur est la meilleure option.
« Ce n’est pas que l’argent que rapportera cette opération qui est important mais il s’agira, au surplus d’une occasion pour se rappeler publiquement notre chère sœur ».
L’idée telle qu’emballée est assez présentable. Mais Jérôme savait bien lire à travers les intentions de Laurent ; ce profiteur né qui ne perd aucune occasion pour dépouiller les membres de sa famille. Quelqu’un d’autre proposera les services d’une vide-maison Bordeaux. Oui débarras Bordeaux ! Et il ne manqua point d’arguments pour justifier sa proposition. La limitation des dépenses et la possibilité de donner un caractère privé à l’opération sont les principaux avantages d’une telle option.
« Nous n’avons pas le droit de faire de la publicité autour de son décès », a t-il clamé. Le vide-maison pourrait se débarrasser des meubles Paris et autres objets de la personne décédée. Il arrive même à organiser la vente privée à l’intérieur du domicile. L’autre avantage du recours à un vide-maison est qu’on ne transporte pas les objets avant de les vendre. « Pourvu qu’on en finisse », priait Jérôme de son fauteuil.
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